jeudi 21 novembre 2019

HOPE TOWN: road trip au cœur des plages de silence


Dans le hall d'entrée de LA BORDÉE
HOPE TOWN
Wartin Pantois
Photo: L.Langlois
14 novembre 2019

Lettre à un jeune homme made of beautiful

Cher Olivier/Mathieu,

Jeudi, 14 novembre 2019, sur la route mal pavée des sentiments refoulés dans le plus profond de tes entrailles, tu nous as tous et toutes émus. Par les mots parfois très durs de ta Créatrice, nous sommes parvenus à ressentir tout le mal à l’aise qui t’afflige au cœur même de ta famille biologique. Ta sœur, une fille bien, qui ne peut supporter de t’avoir au loin d’elle, fait tout son possible pour que les liens qui vous unissent ne se délacent jamais les uns des autres. Pas toujours facile de te regarder aller, tu nous as tellement fait penser à plein d’autres comme toi qui préfèrent s’en aller loin des leurs sans dire un mot, sans donner de leurs nouvelles pendant de trop longues années, ceux-là que l’on croit dévorés par les différentes bêtes noires de la forêt gaspésienne ou abitibienne, c’est selon où leur pouce droit les aura menés. Il y avait des reniflements dans la salle, peut-être ne les entendais-tu pas de la scène, mais nous, si. Ton retour au sein des tiens nous a certes émus, mais pas autant que je l’aurais cru. C’est de te sentir mal, pas encore à ta place, ta tête entre le panache et le fusil, la lasagne et le berceau du bébé. Tes concepteurs faisaient semblant eux aussi, comme si de RIEN n’était arrivé durant tes six ans d’absence, comme s’ils devaient enjamber la détresse et le désenchantement de cette longue ballade au cœur de ton silence. Si seulement ils avaient su les dessous de ta pensée, peut-être aurais-tu été capable de les plonger eux aussi dans le plus creux de ta volonté pour y accomplir ta complète libération. On ne saura jamais vraiment comment ton histoire se terminera mais on peut espérer que ton malheur aille s’assoupir parfois entre la Gaspésie et le monde, ailleurs que dans un recoin de l'Abitibi....

Louise xx




Merci à Marie-Hélène Gendreau qui, telle une magicienne, s’est à nouveau servi de sa super baguette de metteure en scène pour nous faire apparaître en pleine lumière les gestes que l’âme humaine lui a dictés autour de ce puissant texte de Pascale Renaud- Hébert. Un texte intelligent, composé de dialogues à couper le souffle avec des interprètes qui sonnaient « so natural »...


Olivier Arteau, encore une fois au-dessus de nos attentes, sait s’envelopper de cette flamme qui n’appartient qu’à lui, a rendu le solide texte de sa « grande sœur » encore plus résistant. Pascale Renaud-Hébert, (Isabelle), qui interprétait celle-ci, lui répliquait, à tort ou à raison, avec toute l’incrédulité qu’une frangine peut ressentir envers son petit frère quand il lui dit qu’il est parti de la maison parce qu’il n’aimait pas la famille dans laquelle ils étaient nés tous deux...


Jean-Sébastien Ouellette (Luc) et Nancy Bernier (Jeanne), composent avec toute l’intégrité possible un excellent duo de parents. Des parents qui ne veulent pas vraiment vous dire comment agir mais…mais…mais…


Jean-Michel Déry, (Francis), le beau-frère policier, mal à l’aise avec toute cette « family affair » complète la distribution; il ose même quitter Isabelle à un moment donné alors qu’il en a carrément marre de ses mensonges « doux-amers qu’elle faits au nom de la sacro-sainte unité familiale. On le suit très bien dans cette situation ambiguë, on aurait peut-être agi de la même façon, mais...mais...mais...



Mais…mais…mais…c'est Noël qui s'en vient bientôt et il faudra fêter ça...en famille, acheter des cadeaux, décorer le foyer, faire un sapin artificiel, manger de la fondue, de la dinde ou du tofu, parce que "all THEY want for Christmas is YOU", cher Olivier...Toi, dans ton coin, tu penseras peut-être à Julien, la silhouette manquante dans le hall de LA BORDÉE, aux bons moments que vous avez partagés...avant qu'il n'aille fracasser les fenêtres du firmament...


Wartin Pantois




Merci à M. Michel Nadeau qui donne l’opportunité à de jeunes auteurs comme Pascale Renaud-Hébert de « résider » à LA BORDÉE pour y créer des histoires qui touchent et rassemblent des hommes et des femmes qui à leur tour s’enroberont de cette humanité qui manquent parfois à leur quotidien. Parce que ces soirées passées entre nous, spectateurs choyés de La Bordée et auteurs talentueux, nous rendent plus résilients face aux chambardements de cette planète en éruption. À la longue, toutes ces œuvres choisies rapporteront gros en expériences humaines pour les Entrepreneurs d’évolution que sont les Participants Actifs des différents Théâtres de la Cité.

Et si je dis que je ne suis pas juste une autre de vos pièces?

What if I say I'm not just another one of your plays?




Et maintenant, UN MOT DE LA MAIRESSE de HOPE TOWN...

C'est avec grande fierté que je vous souhaite la bienvenue à notre nouveau site internet. Le but était de créer un site moderne, attrayant et orienté vers les citoyens.
Hope Town est un village en pleine effervescence où se côtoient dynamisme et esprit communautaire. Un havre de paix pour les familles, le calme et le contact constant avec la nature sont ce qui caractérise le mieux les conditions de vie dans notre magnifique municipalité.

HOPE TOWN
Photo: Andy Carton

Deux plages sont à la disposition des amateurs de plein air qui désirent profiter de la nature. Un sentier pédestre en bordure du Barachois, de même que des routes secondaires où il n'est pas rare d'y apercevoir des chevreuils feront le bonheur des randonneurs et des cyclistes. Les jeunes apprécieront le terrain de jeux situé à l'arrière de la salle municipale.


Une municipalité invitante, un environnement agréable et sécuritaire, une qualité de vie exceptionnelle, et l'hospitalité de ses citoyens, voilà autant de critères qui ne vous feront pas regretter votre choix de vous installer à Hope Town.
Je vous invite donc à découvrir notre village. Nous vous réserverons un accueil des plus chaleureux. Bienvenue chez nous!


HOPE TOWN

Une coproduction de La Bordée et du Collectif du vestiaire
TEXTE : Pascale Renaud-Hébert
MISE EN SCÈNE : Marie-Hélène Gendreau
ASSISTANCE À LA MISE EN SCÈNE : Émile Beauchemin
DÉCOR : Ariane Sauvé
COSTUMES : Julie Levesque
LUMIÈRES : Félix Bernier Guimond
MUSIQUE : Josué Beaucage
MAQUILLAGE ET COIFFURE : Nathalie J. Simard
PHOTOS DU SPECTACLE : Nicolas-Frank Vachon


L'HERBIER LE BOTANISTE

REPLI ET TURBULENCE 2

L'HERBIER, FEUILLE 5

Avant la pièce, un arrêt primordial à LA GALERIE 3, sur Saint-Vallier E. là où PARYSE MARTIN y exposait ses dernières créations. De toute beauté ! Que de travail, surtout celles de carton. Absolument ravissant...Voici trois de mes préférées. Pour voir toutes les œuvres, cliquez sur le lien:




POUR LE PROCHAIN ROAD TRIP


ON THE ROAD AGAIN

Well, I'm so tired of crying
But I'm out on the road again
I'm on the road again
Well, I'm so tired of crying
But I'm out on the road again
I'm on the road again
I ain't got no woman
Just to call my special friend
You know the first time I traveled
Out in the rain and snow
In the rain and snow
You know the first time I traveled
Out in the rain and snow
In the rain and snow
I didn't have no payroll
Not even no place to go
And my dear mother left me
When I was quite young
When I was quite young
And my dear mother left me
When I was quite young
When I was quite young
She said "Lord, have mercy
On my wicked son"
Take a hint from me, mama
Please don't you cry no more
Don't you cry no more
Take a hint from me, mama
Please don't you cry no more
Don't you cry no more
'Cause it's soon one morning
Down the road I'm going
But I ain't going down
That long old lonesome road
All by myself
But I ain't going down
That long old lonesome road
All by myself
I can't carry you, baby
Gonna carry somebody else






mercredi 20 novembre 2019

DÉVORÉ(S) : du ben drôle de beau bon monde (lait)

Conception de la superbe affiche 
Marie-Renée Bourget Harvey

Ce serait mieux s’il n’avait rien. Comme il y a plus de douleur que de plaisir sur terre, toute satisfaction n’est que transitoire, créant de nouveaux désirs et de nouvelles détresses et l’agonie de l’animal dévoré est plus grande que le plaisir du dévoreur.

Schopenhauer
(in le programme)

A la montée du lait commence l'amour maternel.    

André Gide  
Journal: 1889-1939 (édition 1960)     

La Laitière (De melkmeid)
Johannes Vermeer
1658
huile sur toile
45,5 × 41 cm
Collection Rijksmuseum
Amsterdam


Un oiseau blanc de malheur
L’instinct-fusil pour le tueur
Et les masqués de la terreur
Les vomissures à 100 à l’heure

Des broches dans les clennedaques
Un chien mort dans la marmite
Un trou noir dans le mur
Une balle en plein cœur

Des enfants qui n’ont pas peur ?
Ça dépend de leurs mères parfois…

elquidam



Coyote aux alentours de la maison
Photo: Pierre Charette

Victor Hugo
encre

ALL LOUP WIND
30-10-10
elquidam


Six jours après l’Hallowe’en, c’était encore l’Hallowe’en. Et quelle Hallowe’en ! Jamais l’horreur n’a été aussi ensorcelante qu’en ce soir du 5 novembre 2019. Jean-Denis Beaudoin et Jocelyn Pelletier, les maîtres de cette cérémonie comico-macabre nous en ont mis plein les yeux et… la nappe ! On l’attendait ce DÉVORÉ(S) depuis un bon moment déjà, la pièce ayant été annulée lors de la saison 2017-2018 en raison du retard des travaux au PÉRISCOPE. Je savais qu’avec Jocelyn Pelletier à la barre de la mise en scène que nous serions bientôt envahis par une sorte de frénésie dont je me souviendrais longtemps. Nous étions prêts A. et moi depuis la Nuit des Temps...

L'auteur et comédien Jean-Denis Beaudoin
Photo: Radio-Canada



Dans un splendide décor mortifère, la musique, assez dramatique merci, régnait en ces lieux funestes, elle n’en finissait plus de rendre les lieux non moins lugubres. Les savants éclairages de Jean-François Labbé, virtuose incontestable de la lumière des scènes de Québec, complétaient cette scénographie des plus effroyables. Tel un peintre qui sait comment faire ressortir toutes les nuances d’un tableau, il a révélé les sentiments plus ou moins glauques qui habitent LA BÊTE NOIRE. Il a su rendre au texte de Jean-Denis Beaudoin toute la ferveur de ses petites et grandes noirceurs.


Pour nous mettre dans l’ambiance « ménagère » de cette famille plus ou moins décryptable, quoi de mieux que de s’être installés avec eux dans le Grand Salon du PÉRISCOPE ? Munis de nos télécommandes fantômes et vraiment prêts à tout voir pour que notre famille préférée remporte les 5 millions de beaux dollars. Pour se faire, fallait qu’elle travaille dur, la famille. Qu’elle n’ait pas peur de délier sa langue ou de faire claquer ses mandibules afin d’y dévorer vivants une partie de son inconscient.


Une mère aux longs cheveux mauves, qui en mène assez large dans cette fragile valse de jeunes vampires. Elle a un fils qui file un bien mauvais coton, 100 % hanté par l’esprit de la Cabane. Ils sont entourés d’une gentille fille à la robe rutilante, amie du fils, et de trois autres « joueurs » à l’allure plus ou moins louche. Parmi ces trois, deux amis du fils et le laitier du quartier qui s’avérera l’amant qui délivre le Mal et le Lait, celui qui coule dans les veines noires de sa Destinée. On a peur, on rit jaune, le son de la télé est au boutte. On regarde ça comme si c’était une vraie télé-réalité et on se dit qu’on n’est peut-être pas mieux que ceux-là qui regardent ce genre d’émissions le dimanche soir, des genres de reprogrammés qui se font dégénérer par des petits chaperons rouges et des gars à effet de serres…

Pour Jean-Denis qui s'inspire 
de l'oeuvre de David Lynch

Bravo à TOUTE la distribution spontanée : Lise Castonguay et Hugues Frenette, formidables comme à leur habitude, avec jamais un fil du rasoir qui dépasse de leurs prestations; Jean-Denis Beaudoin, intense et inquiétant comme à chaque fois, Ariane Bellavance-Fafard, étincelante et éloquente dans sa superbe robe rouge, et Dayne Simard, aussi convaincant que dans FROID et LA FILLE QUI S’PROMENAIT AVEC UNE HACHE. Le dernier et non le moindre, Mathieu Richard, que nous ne connaissions pas A. et moi mais que nous avons beaucoup apprécié. C’est lui qui amorçait la pièce, tout seul en avant, collé sur la première rangée de spectateurs qui eux n’ont pas manqué de réagir à quelques-uns des «  éclaboussants » effets spéciaux  ! ;-)



On trouve aussi le mot klondyke que l’on prononce « clennedaque » dans la région montréalaise. Pour cette dernière appellation, Michel Lambert, fondateur du site Cuisine patrimoniale du Québec et auteur de la collection Histoire de la cuisine familiale du Québec, affirme que ce mot vient de la francisation Klondike, cette région du Yukon qui connut entre 1896 et 1899 une ruée vers l'or. La couleur de la tire Sainte-Catherine rappelant celle des pépites d'or trouvées à l'époque. Selon le réseau de diffusion des Archives du Québec, « Au 19e siècle, cette journée de festivités faisait place aux pièces de théâtre montées par les élèves qui jouaient souvent le martyre de sainte Catherine. Ensuite prenaient place les jeux organisés, les chansons et les mascarades. [...] des témoignages laissent croire qu'ils y voyaient une belle source de motivation pour maintenir la discipline jusqu'à cette journée tant attendue où l'école appartient aux écoliers ».




gone are the days of the world we used to know

how many times did we try to save tomorrow

but the tides are a changin' love

spaces that held us once drift away

and all that we have lost

sinks into the past and decays

so i run, but every road is broken

circling around an empty world

i'm stuck inside of my emotions

say goodbye to the world we know

tides pull me out into the open waves

and i won't surrender, love

into the deeper waters and away

don't be afraid, it's never too late

sinking like lonely souls, to the bottom of the ocean

drifting home

you said for all we know, it's already set in motion

as the tides pull me from the shore

deeper into the unknown, i let go

and all…




DÉVORÉ(S)

Compagnie  La Bête noire
Texte et idée originale  Jean-Denis Beaudoin
Mise en scène Jocelyn Pelletier
Assistance à la mise en scène Shanya Lachance Pruneau
Distribution Jean-Denis Beaudoin, Ariane Bellavance-Fafard, Lise Castonguay, Hugues Frenette, Mathieu Richard, Dayne Simard
Décor et lumière Jean-François Labbé
Conception vidéo Keven Dubois
Conception musicale et sonore Christophe Dubé
Concepteur aux effets spéciaux Guillaume Perreault
Costumes et accessoires Virginie Leclerc
Direction artistique Jean-Denis Beaudoin
Direction technique Shanya Lachance Pruneau
Photos du spectacle Maxime Paré-Fortin




MÉDIAS





Mobilier de cabane
Rue Saint-Joseph Est
Photos: L.Langlois
3 octobre 2019



How could I ever think 
it's funny how?


mardi 19 novembre 2019

PER TE : des Perles dans le Diamant

LE LIVRET

Le vent….
La pluie…
La vie…
Le temps…

PER TE
PERTE

POUR TOI, 
Julie Hamelin

elquidam



Comment décrire cette grande et somptueuse fête à laquelle nous avons assistée A., M. et moi le soir du jeudi 31 octobre, soir de déluge, de vent et d’Hallowe’en ? Un rêve, un songe, une féerie, une composition de superbes chorégraphies, d’acrobaties, agrémentées de vie, de mort et d’armures. Un décor circonscrit de ballets, de balles, de flocons de neige, de pluie, de pétales de fleurs inconnues…et d’un cœur, gros comme ça…celui d’une femme, Julie, que nous ne connaissions pas vraiment AVANT mais qui a fini par entrer dans les nôtres APRÈS via l’homme qui l’a tant aimée...


En plein milieu de la rangée AA de cet endroit spacieux et si confortable, au centre de l’univers palpitant de Daniele Finzi Pasca, à bord d’un moyen de transport nommé Bonheur, parce que la Vie le côtoie même les soirs de déluge automnal, de ceux qui s'abattent froidement sur les toits et nos têtes...Des perles dans le Diamant, le titre m'est venu pendant que je constatais à quel point ça brillait de tous bords tous côtés dans cet écrin culturel qu'est notre DIAMANT...

LE DIAMANT aux côté de son CAPITOLE
Photo: Lise Breton

Pour me souvenir davantage de toutes ces prouesses des sublimes interprètes, me suis procuré le livret du spectacle. Et comme M. Finzi Pasca se trouvait tout près de nous, j’ai osé le déranger un instant pour le féliciter et lui demander son autographe dans lequel il me nomme Luise !!! ;-) Puis, il est reparti fin seul sous cette pluie dévorante d'un ciel qui n’en finissait plus de pleurer. Comme M. nous l'a dit ce soir-là, j'ai pensé, à ce moment précis, combien nous avions été chanceux d'assister ce soir à autant de beauté et d'espérance, d'y avoir côtoyer le génie de deux des plus grands metteurs en scène au monde. J'espère maintenant que M. Lepage réinvitera très bientôt M. Finzi Pasca, parce qu'il y a tant à voir...et à vivre...encore..


Merci à Evelyn Laforest, l'une des brillantes protagonistes, qui nous a si gentiment expliqué la vie des armures dans lesquelles leurs corps prenaient place pour une portion du spectacle. Nous avons pu les toucher et les peser. Nous avons compris combien certaines de leurs acrobaties pouvaient être difficiles pour ne pas écrire périlleuses, tellement c'est lourd. Maintenant, voici quelques superbes photos pour se souvenir de ce rêve de sang et d'eau, sang qui bouille et gicle à partir d'un cœur qui bat fort dans les veines d'un Temps plus que vivant...

Photos du spectacle
IVIVIANA CANGIALOSI et 
LULÚ URDAPILLETA

CRITIQUES
  

Julie Hamelin et Daniele Finzi Pasca

ENTREVUE


Pour faire comme une suite logique à mon automne "espagnol", voici quelques extraits de LA VERITÀ, spectacle qui combine acrobatie, théâtre, danse et musique, inspirée par la toile de fond peinte par Salvador Dalì pour son Tristan fou dans les années 1940 à New York. Spectacle qui avait été créé en première mondiale à Montréal, une ville que connaît bien M. Finzi Pasca. Dali, encore et toujours lui...éternellement là...




PER TE

DISTRIBUTION

ALLEGRA SPERNANZONI
ANDRÉE-ANNE GINGRAS-ROY
BEATRIZ SAYAD
DAVID MENES
JESS GARDOLIN
EVELYNE LAFOREST
FÉLIX SALAS
FRANCESCO LANCIOTTI
JENS LECLERC
MARCO PAOLETTI
NICOLÒ BAGGIO
ROLANDO TARQUINI
STÉPHANE GENTILINI
MICOL VEGLIA
JAMES KINGSFORD-SMITH



 CRÉDITS

AUTEUR ET MISE EN SCÈNE, CO-CONCEPTEUR DES ÉCLAIRAGES ET DES CHORÉGRAPHIES DANIELE FINZI PASCA
MUSIQUES ET ORCHESTRATION, CONCEPTRICE SONORE ET DES CHORÉGRAPHIES MARIA BONZANIGO
CONCEPTEUR DE LA SCÉNOGRAPHIE ET  DES ACCESSOIRES HUGO GARGIULO
CONSEILLER À LA PRODUCTION ANTONIO VERGAMINI
CONCEPTRICE DES COSTUMES GIOVANNA BUZZI
CO-CONCEPTEUR DES ÉCLAIRAGES ET DIRECTEUR DE PRODUCTION ALEXIS BOWLES
CONCEPTEUR VIDÉO ROBERTO VITALINI FOR BASHIBA.COM
CONCEPTEUR SCULPTURE DANIEL WURTZEL
CO-CONCEPTEUR SON ET CHEF SONORISATEUR FABIO LECCE


 À la douce mémoire de Julie, 
un bon "KRAFT DINNER"...
Photo: L.Langlois
1-11-2019
(Lendemain du spectacle)