Un bol alimentaire est le résultat de divers aliments mâchés et mêlés de salive, prêts à être digérés. Le « voyage » d'un bol alimentaire va de l'isthme du gosier jusqu'à l'entrée dans l'estomac.
Wikipedia
l'encyclopédie libre
Photo: L.L.
Mais qui nous survivra ?
Gros merde Québec pour
cette rentrée théâtrale. Merde les Fées..Merde la Famille...Merde Dans le
bois...et merde à toute ma gang de CHANTE AVEC MOI. Dieu du tambourin, soyez
avec moi!!!
Jonathan Gagnon
C'est le cas de le
dire, avec toutes ces rentrées, on est dans la merde jusqu'au cou et c'est bien
tant mieux. Merde !
Louise Langlois
mardi 16 septembre 2014
HUGO NADEAU
FAMILY FIRST
« C'est par là qui faut que tu passes si tu veux pas crever »
Le TV set des débuts de notre asservissement
Seigneurs de guerre
Rois du pétrole
Généraux Polices Militaires
ICI sur terre
pour détruire
pour détruire
avec vos armes géantes
nos faibles armures
Qui de nous vaincra ?
Seigneurs de guerre
Rois du pétrole
Trafiquants Pirates Militaires
Tous dans le même bol
alimentaire
Il n’y aura plus de révolutionnaires
que des révoltés
L.L.
Dans ta boîte à mal c’est ça que le Facteur te délivre à chaque deux jours:Bain Renov Boston Pizza Beauport Mazda Bélair Direct Le Fenêtrier Boily, Thibault Denturologistes Expedia centre de croisières ReMax Capitale et...le compte du Bell (cellulaire)...
Le mobile du Terrien: créer sinon crever
Marie Gignac à l’entrée, Frédéric Dubois dans le hall, Roland Lepage en arrière de moi et comme d'habitude, A. à mes côtés. Le mardi 16 septembre au Périscope, c'était la rentrée. Nous étions fin prêts depuis juin dernier pour la nouvelle saison. Nos lames bien aiguisées, nos bâtons mal élevés, on va encore une fois nous passer la puck pour aller scorer quelques buts dans des filets bien remplis de répliques. La fin du monde pouvait commencer avec son étalement de vérité...
Photo: Stéphane Bourgeois
Réjean Vallée, Éliot Laprise, Valérie Laroche, Claudiane Ruelland et Isabelle Vincent nous ont tous démontré à quel point (G) nous en sommes rendus sur cette planète composée de familles reconstituées, de jeunes perturbés, de vieux mal amanchés, cette société d'iphonés, remplie de miroirs gigantesques comme celui du fond de la salle. Un miroir pour donner de cette illusion dans laquelle on se fond la face dans la glace, où l'on se fend les fesses dans la masse à force d'errer devant les écrans télé romanesques. On ne peut passer sous silence les chansons, les rires et la passion du Théâtre des Fonds de Tiroirs. C'est Frédéric Dubois qui met en scène cette pièce consistante de Jacob Wren assaisonnée du SEL DE LA TERRE de Samuel Archibald.
Je t’ai cherché à mon réveil
Où étais-tu ? il ventait fort dans mes oreilles
J’ACHÈTERAI LE CAMION BLANC
Qui nous emportera au
printemps en Californie
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