vendredi 19 juin 2015

OÙ TU VAS QUAND TU DORS EN MARCHANT 4: à la verticale




OÙ TU VAS QUAND TU DORS EN MARCHANT
C'EST LA FÊTE D'ÊTRE ENSEMBLE
C'EST LE FAIT D'ÊTRE ENSEMBLE


Par un beau soir de fin de printemps 2015, entre les murs d'un néo-Vieux-Québec, un tout nouveau et autre aussi envoûtant parcours déambulatoire. Une réjouissante récompense pour les amateurs de théâtre comme moi pour clore une saison faites de hauts et de ...HO! Comblée de constater qu'on est pas au bout de ce nourrissant rouleau de printemps artistique. Des Voûtes du Palais à la cour de l'école Saint-Louis-de-Gonzague, en passant par les Nouvelles Casernes, le Champ de Parade et le Parc de l'Artillerie, c'est par toute une gamme d'émotions et de sur-prenantes découvertes que nous avons traversé l'Histoire côte-à-côte, en ne respectant aucunement l'ordre. Vive le désordre social quand il se fait aussi respectueusement. Les Concepteurs ont mis tout en oeuvre pour que le Spectateur en ait plein la vue et les oreilles. Avec toutes ces lumières qui éclairaient nos pas et la Musique nos cœurs, les chuchotements des Visiteurs succédaient aux AH ! et aux OH ! Assister autrement le Théâtre, la Poésie, la Musique, la Technologie pendant quelques deux heures, pour apprivoiser l'Art ne serait-ce que pour le comprendre davantage et l'apprécier encore plus, pour le vivre ENSEMBLE sur un même pied d'Égalité, de Fraternité et de Liberté. Cette année, je n'avais pas pris de chance, je voulais tout voir le même soir, alors je m'étais procuré un billet coupe-file au modique coût de 15 $. Ça valait vraiment le plaisir et non la peine. Merci à vous, messieurs dames de la Cité, artistes et artisans, qui avez contribué encore une fois à faire de ce parcours, un refuge confortable pour les âmes-muses. À l'an prochain, pour y revoir les tableaux où j'aurais aimé m'attarder plus longtemps, entre autres ceux des PALAIS et du DÉSORDRE, là où je n'ai pas vu ma découverte de l'année. ;-)

Jean-Denis Beaudoin
Photo: Renaud Philippe



Quelques photos que j'ai prises au gré de l'Émoi en cette chaude et calme soirée du 4 juin 2015.




Édith Patenaude, en bas des ARBRES

Photos: L.Langlois


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